Accueil > Gérer nos milieux > INTERREG France – Suisse « Stop aux Invasives »
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En savoir + okLe colloque final du projet Interreg France-Suisse « Stop aux invasives » s’est tenu vendredi 14 octobre 2022 à Saint-Julien-en-Genevois.
Cet évènement a rassemblé 68 personnes venues de part et d’autre de la frontière.
Collectivités, services de l’État, gestionnaires d’espaces naturels, associations et entreprises ont eu l’occasion de suivre les avancées menées dans le cadre de ce projet, ainsi que d’échanger sur les moyens de gestion des plantes exotiques envahissantes sur nos territoires.
Le programme Interreg France-Suisse « STOP aux Invasives » est un projet d’éradication des espèces végétales exotiques envahissantes recourant à l’innovation technique et combinant diverses méthodes de lutte et de renaturation.
Ce projet a eu pour objectifs :
Ce projet a porté sur 5 espèces : Renouées asiatiques (Reynoutria japonica et R. sachalinensis), le Buddleia (Buddleja davidii), la Berce du Caucase (Heracleum mantegazzianum), les Solidages (Solidago canadensis et Solidago gigantea) et le Souchet comestible (Cyperus esculentus).
Le bassin versant des Usses a été un des territoires d’expérimentation de ce projet.
Ainsi, sur quelques sites identifiés, des foyers d’invasives ont été traités via une nouvelle technique, combinant la stérilisation thermique profonde avec des techniques de restauration des sols post-traitement. Les espèces ciblés sur le bassin versant des Usses ont été : la Renouée du Japon, la Solidage, la Berce du Caucase et le Buddleia de David.
Pour en savoir plus sur les résultats du projet « Stop aux Invasives » :
Résumé
Synthèse finale du projet Stop aux Invasives
Etat des lieux des outils et pratiques
STOP AUX INVASIVES Version longue – YouTube
Pour en savoir plus sur la gestion des plantes invasives :
Le projet « Stop aux invasives » est soutenu par le programme européen de coopération transfrontalière Interreg France-Suisse 2014-2020 et a bénéficié à ce titre d’une subvention européenne (Fonds européen de développement régional) couvrant 65% du coût total français ainsi que d’une aide financière du Conseil Départemental de la Haute-Savoie.